Plongée à Klein Curacao

Daan du Scuba Lodge nous a indiqué un plan poiur aller à Klein C uracao avec Breeze.
C’est une bonne chose car très peu d’opérateurs y vont le samedi, la plupart fonctionnent pricipalement les vendredi et samedi.
Pas de chance, le temps n’est pas très bon et le trajet pour aller sur la petite île est très mouvementé. Plusieurs personnes du voyage (nous ne sommes que seize sur le bateau) ont le mal de mer.
L’équipage consitué du Capitaine Evert et du maitre de bateau Pablo veillent au grain et nous font traverser la forte mer de mains de maitre.
Quand nous arrivons à Klein (comme disent les habitués, que nous sommes maintenant), nous constatons effectivement que la météo ne nous est pas favorable.
Un spectacle epoustouflant nous surprend lorsque nous nous approchions de l’île, une migration de flamand rose passe non loin de nous. Décidemment, nous aurons vu ici des choses vraiment exceptionelles.

Un vol de flamands roses
Une mauvaise météo au standard de Klein Curacao

Lorsque nous attendons un petit canot pour nous amener jusqu’au point de départ de la plongée, Daan appelle une tortue que nous voyons nager à quelques mètres de nous en tapotant la surface de l’eau, curieuse elle s’approche viens nous regarder.

Joe la tortue vient saluer Daan

Nous partons pour chasser quelques “Lion Fish”, Daan me confie un harpon et m’en explique le maniement. Pas très compliqué de pèrime abord, il faut beaucoup s’approcher pour les harponner mais cela ne pose pas de problème, car ils n’ont aucun prédateur naturel et ne se méfie de rien. Même si le harpon ne fait que 1 mètre 20 de long, ce n’est usuellement pas un problème.

Lors de la première plongée, le résultat est assez maigre et ne constitue que de 6 prises.
Aucune touche pour ma part, mais quelques images.

Les turbots naissent avec les yeux du même côté, un oeuil se déplace par la suite
Anémone avec les pointes violacées

Revenus à la surface, le barbecue qui se trouve à bord à été mis à contribution et nous trouvons des grillades, salade et pain à disposition. Tout le monde se retrouve à bord pour le repas, les “snorkellers”, les “plageurs” et les plongeurs.
Pablo met l’ambiance sur le bateau, il attire les poissons et Joe la tortue en les apâtant avec de la nouriturre. Joe vient en surface pour se nourrir, Pablo arrive à attraper des “Trunk Fish” à main nue et le garde posé sur sa paume! Antropomorphie faisant loi, il nous semble qu’il nous regarde d’un air étonnée par ce qui l’entoure soudainement.

Nous partons pour une deuxième plongée vers une partie différente de la côte. Ce coup ci, nous ne triuvoins aucun “Lion Fish”, dommage pour la pêche mais rassurant pour le récif. Cependant, je ne pense pas qu’ils ont tous été éliminé à Klein Curaçao, mais que ce n’est qu’un concours de circonstances.
Nous voyons malgré tout une ENORME murène, je ne pouvai malheureusement pas m’approcher plus pour la prise de vue à ce moment là de la plongée car elle se trouvait à une trop grande profondeur.

Une vraiment très grosse murène

Le voyage du retour est plus calme et Pablo met encore de l’ambiance avec de la musique latino. Nous sommes de retour sains et saufs au port de départ. Une excellente journée, et Jackie a attrapé un coup de soleil malgré les précautions qu’elle a prise et la “relative” mauvaise météo d’aujourd’hui.

Pour éviter trop de fatigue, nous commandons un repas à l’emporter au “Pop’s Place” que je vais aller chercher. Un red snapper pour Jackie et un Cabrito stew pour moi.
Excellent repas pour finir cette journée à nouveau bien remplie.

Nous faisons les flemmes

Afin de nous préparer à notzre retour à Genève, nous décidons d’un commun accord que nous passerons la journée d’aujourd’hui à en faire le minimum.
Direction le Lions Resort pour profiter au maximum de la plage aménagée et bien décidés à en faire le minimum.
Nous nous posons sur un transat, et à part pour aller dans l’eau nous ne nous déplaçons plus.

Quand on regarde devant nous
Quand on regarde en l’air

Nous profitons du service des jeunes serveurs internes pour commander à boire et manger, pour le reste nous restons sur nos transats et faisons l’ultime effort pour mâcher…

Par moment, il y a un chant d’oiseau que nous reconaissons: les fameux voleurs de sucre!
Nous tentons l’expérience de les attirer à nouveau, ici l’emballage du sucre est différent de ce que nous avions utilisé auparavant; et ça marche! C’est la fable du corbeau et du renard à l’envers.

Encore un “voleur de sucre”

Instant culture, c’est oiseau est un Oriole Troupial. Assez d’effort pour aujourd’hui.

Journée shopping à Punda

Nous commençons le compte-à-rebours jusqu’à notre départ de Curaçao.
Parmi les activités que nous avions prévus lors de nos derniers jours sur l’île, il y a un passage par les magasins locaux afin de trouver les babioles à ramener à Genève.
Le premier achat consiste en une valise et nous passons le reste de la matinée à la remplir. Il y a aujourd’hui deux paquebots à quai, et certains commerçants tentent par tous les moyens de vendre quelque chose.
Les ruelles de Punda sont un alignement de magasins divers et variés, des échoppes de souvenirs frabiqués en Chine ou en Inde cohabitant avec des bijouteries ou horlogeries de luxe. Il y a malgré tout encore quelques ateliers proposant des bibelots locaux fabriqués artisanalement.

Nous avions reservé pour déjeuner au Purunchi pour nous imprégner de l’ambiance locale que nous aimons tant.
Nous arrivons assez tôt, parmi les premiers à table. Le restaurant se rempli assez vite, et Gina nous demande si nous somme d’accord d’avoir d’autres personnes viennent à notre table. Nous accueillons deux personnes vivant à Curaçao et nous avons une discussion très agréable avec eux tout au long du repas.
Décidemment une bonne adresse qui nous apporte des surprises très plaisantes.

L’enseigne du Purunchi
Les poissons sont fris, mais on en voit pas la trace dans l’assiette

Dans la soirée, nous retournons au Scuba Lodge pour le happy hour et Daan nous a peut-être dégoté une bonne sortie pour notre dernier samedi sur l’île; j’attends sa confirmation pour demain avec impatience.

Nous dinons à Komé pour finir cette journée liant l’utile à l’agréable.

Porto Mari

Déjeuner à Porto Mari et plongée.
Nous retrouvons dans les arbres environants les oiseaux voleur de sucre: Jackie leur agite un sachet, il y en a un qui est irrémédiablement attiré et vole jusque à notre table pour le récupérer! Il repart ensuite dans un arbre, très habilement il tient le sachet avec une patte et perce le papier et picorer les grains de sucre.

Un “voleur de sucre” en pleine action

Pour le reste, je laisse les images parler d’elles-même.

Vue de la terrasse du restaurant de Porto Mari
Nous croisons une tortue très occupée à manger
Le récif de Porto Mari est sublime
Les “Reef Balls” sont destinées à servir de support pour la faune et la flore maritime

Nous allons prendre un apéro au Miles Café, ambiance jazz au bar.
Ensuite, diner au Ginger pour la soirée “tapas”.

Cas Abao

Nous retournons à la plage pour profiter d’une magbnifique journée ensoleillée, avec un peu de vent pour que la chaleur soit agréable: conditions idéales. Nous savons d’avance que le snack n’est vraiment pas à la hauteur et nous venons avec un picnic dans une glacière.

Farniente et une plongée aujourd’hui avec Raoul et Bob; une plongée d’eploration du récif coralien super détendue et relax.

Le turbot tropical est beaucoup plus coloré que son cousin d’Europe
Je ne m’en lasse pas!
Un poulpe caché dans son trou durant la journée

La flore de Curaçao

Nous allons au Christoffel Park qui se trouve à l’ouest de l’île, proche de Westpunt.
C’est une immense zone protégée, la plus grande réserve naturelle de Curaçao. On peut la visiter à pied ou en voiture. Pour les amoureux du trekking le parc ouvre à 6 heures du matin, il est d’ailleurs interdit aux randonneurs dès midi car la chaleur devient trop intense.

Pour notre part (oh surprise!), nous choisissons de faire le parcours en voiture dans le confort de la climatisation. La végétation est très dense et il y a une route aménagée qui serpente dans les collines. Celle-ci prend par moment des pentes très importantes, autant en montée qu’en descente: nous sommes assez soulagés de passer par là en voiture et non pas à pied. Mais le décor est vraiment magique, bien que nous ne puissions pas profiter pleinement de la diversité de la flore qu’il se trouve ici.

La route sinue par moment au travers de tunnels de végétation

Il y a tout au long du parcours, des points de vue sur divers points de l’île car une majorité du parcours se déroule sur les hauteurs. Nous redécouvront certains endroits avec une perspective totalement différente.

Le mont Christoffel – point culminant de Curaçao
La baie de Knip
Une anse plus grande que les boka sur la côte nord

De retour à Pietermaai, nous allons faire un tour au Saint-Tropez ocean club qui se trouve près de notre appartement. Pas vraiment un lieu pour nous, il y a une musique lounge-techno et d’un commun accord nous décidons que nous n’y reviendrons pas.

Nous dinons au Fishalicious, un restaurant proche et très bien noté. Nous étions de prime abord un peu réticent car le lieu est réputé pour la préparation des poissons de la mer du nord. Malgré tout il y a aussi à la carte des produits plus locaux qui nous décide de tenter l’aventure.
Et nous ne sommes pas déçu; le chef s’y entend parfaitement pour un sushi de poisson local, des mélanges osés de pratiques culinaires Caraïbes-Europe (poulpe avec des pommes de terres et du piment), et la queue de homard est simplement sublime (bien que la serveuse nous avait confirmé de la langouste).

Géologie de Curaçao

Nous consacrons la journée à comprendre un peu mieux la formation de Curaçao et des îles environnantes.
Il y a évidemment une origine volcanique, mais ce qui rend celle-ci différente des autres est sa nature corallienne. La surface rocheuse que l’on voit un peu partout de façon constante, que ce soit au nord ou au sud, à l’est ou l’ouest, ainsi qu’à Klein Curacao, nous fait penser à un décor lunaire.
Le sol est extrêmement irrégulier et dur, rugueux et même coupant; l’on dirait de la roche volcanique, mais au deuxième examen on se rend compte que ce n’est pas le cas, la matière est beaucoup plus dense et lorsque l’on en a un morceau en main, l’échantillon est bien plus lourd que de la pierre ponce.

Un sol très irrégulier et très dur

L’explication vient du fait que l’archipelk se trouvait entièrement sous le niveau de la mer, et la surface que nous connaissons maintenant était entièrement recouverte de corail. Ce que nous voyons maintenant est en fait du corail fossilisé, d’où cette extérieur si particulier, que les plongeurs pourrant reconnaitre assez facilement.

Nous visitons la grotte de Hato à un jet de pierre de l’aéroport. Bien qu’aujourd’hui à une hauteur de plusieurs dizaines de mètres, ce circuit de galerie s’est formé il y a des centaines de million d’année lorsque le tout se trouvait encore sous le niveau de la mer, creusé par l’érosion des courants marins.
Il y a des galeries de toutes tailles et certaines chambres atteignent une hauteur de plus de dix mètres. Lors du 19ème siècles, des esclaves ont trouvé refuge dans ces dédales totalement obscurs afin d’échapper à leur sort; afin de nous donner une idée de ce qu’ils ont pu vivre, le guide éteint les lumières et nous pouvons nous rendre compte du genre de vie qu’ils ont préféré pour échapper à leur sort. Il y a aussi une colonie de chauve-souris qui ont établi leur habitation ici et nous pouvons les voir suspendus au plafond.

Les photos ne sont pas autorisées dans les grottes afin d’empécher la formation d’algues sur les murs. Cet endroit est le seul autorisé pour les prises de vue.

Nous allons ensuite au nord, dans le parc national de Shete Boka. Cette partie de la côte nord est découpée par toute une série de “boka”, des bars de mer pénétrant dans les terres se terminant pas une petite plage de sable grossier. Ceux-ci sont extrêmement importants pour la faune locale, car il y a ici des tortues qui viennent pondre et enfouissent leurs oeufs pour la couvaison. Le paysage est vraiment spendide est extraordinaire.

Une des “boka” du nord de l’île

Nous continuons à nous balader dans le nord, et nous sortons des routes groudronnées pour nous perdre au milieu de la nature. L’envers du décor est très diffèrent de ce que nous pouvons sur les bords de mer mais reste fantastique.

L’arrière pays de Westpunt

Curacao Aquarium

Nous retournons au Lions Dive & Beach resort, mais pour aller visiter l’aquarium.
Il n’est pas très grand en lui même, cependant il y a plusieurs bassins qui sont entièrement connectés avec la mer, ce qui fait qu’ils ont tous une eau qui circule en permanence avec l’océan.

Il y a beaucoup de possibilités d’interactions avec les animaux. Lorsque nous arrivons, nous voyons des plongeurs et des snorkeleurs entrer dans un bassin dans lequel évoluent des immenses raies et des tarpons.
Dans un bassin annexe séparé par des grillages, il y a plusieurs énormes requins nourrice, mais personne n’y est autorisé.
Il y a là des flamants roses que l’on peut approcher, et des petits bassins contenant une partie de la variété de la faune que l’on peut trouver dans les eaux des Caraïbes.

Parmis les pensionnaires plus spectaculaires, il y a des otaries. Une femelle particulièrement coopérative nous fait toute une série de démonstrations, et elle pose afin que la soigneuse puisse nous détailler des parties de son anatomie. Elle nous explique aussi leur mode de vie et leur environnement.
Elle insiste notamment auprès du plus jeune public l’importance de sauvegarder l’environnement et les comportement de base à tenir pour éviter sa dégradation.

Snapper nous aide à mieux comprendre les otaries

Parmi les autres attractions, il y a évidemment les dauphins. Il y a ici une académie entièrement consacrée à leur sujet.
Le spectacle sert de support pour donner des informations les concernant; leurs évolutions sont toujours spectaculaires et attire évidemment beaucoup de sympathie à leur égard.
Ici, il y a un soigneur par dauphin, l’on voit la complicité dans les duos. Il y a un aspect très étonnant de cet aquarium: comme les bassins sont connectés à l’océan, il font régulièrement des sorties en pleine mer avec les dauphins, ceux-ci reviennent toujours après de longues balades.

Les dauphins provquent toujours de l’émerveillement de ceux qui les approche

Nous continuons le reste de notre après-midi sur la plage. Un peu de snorkelling pour voir toutes les espèces dans leur habitat naturel cette fois-ci.

Nous finissons notre soirée dans un restaurant chinois afin de fêter le nouvel an chinois. Nous allons au Rose Garden qui ne semble pas trop mal noté. Une surprise pour moi; bien que l’on voit beaucoup de chinois parmi les locaux, il n’y a pas grand monde dans le restaurant et aucun chinois pour célébrer le nouvel an.
Le repas est pas mal sans plus, les serveurs (qui ne sont pas chinois) n’ont apparement aucune idée de ce qu’ils servent et ne connaisse rien de la Chine. Une grande première est que c’est le seul restaurant chinois que j’ai fréquenté qui ne serve pas de Tsin Tao!

Plongée depuis la rive de Willemstad

Deux plongées au programme aujourd’hui, de nouveau avec Scuba Lodge et Jordy.
Nous n’aurons pas beaucoup de trajet à faire: dans l’après-midi, nous allons juste à côté du débarcadère servant aux méga paquebots de croisière.
Le site n’est accessible évidemment que lorsque il n’y a aucun navire amarré, car nous entrerions à l’eau à quelques dizaine de mètres s’il y devait en avoir un à quai.
A cet endroit, il y a la plus grande épave de Curaçao, celui du Superior Producer. C’est un transport de marchandise qui a coulé en 1977. Le bâtiment fait 50 mètre de long, il gît par 36 mètres de fond et commence à 26. Il est resté en excellent état, et nous pouvons facilement nous déplacer dans sa zone de cargaison ainsi que dans le poste de commandement.
Malheureusement, la visibilté n’était pas des meilleures au standard d’ici. De magnifiques images malgré tout.

L’épave du Superior Producer
L’épave du Superior Producer
L’épave du Superior Producer

Une deuxième plongée de nuit, rééllement très proche, car nous partons de la rive du Scuba Lodge.

Langouste en chasse – tout près du restaurant du Scuba Lodge!

Superbe plongées avec Denis qui a obtenu son niveau Advanced Open Diver.

Plongée à East Point

J’ai cherché plusieurs moyens d’aller plonger vers le sud de l’île nommé East Point, car il est aussi le plus oriental de Curaçao.
Une grande partie sud de l’île est privée et il n’est pas possible de circuler dans toute la zone. Les site de plongées depuis le bord n’est donc pas une option.
Pour atteindre ces sites, la seule solution est d’y aller en bateau. Cela fait plusieurs jours que j’essaye de trouver une solution abordable, et Jordy de Scuba Lodge m’en a enfin déniché un.
Nous allons embarquer à bord d’un bateau de Breeze Boat Trips avec trois autres centres de plongée à partir de Caracas Baai, près de la base de Curious 2 Dive. Le bateau est assez plein, mais pour ma part j’ai la chance d’avoir exclusivement Jordy comme guide; nous ne restons pas avec les autres palanquées, c’est pour moi comme une plongée privée.

A l’approche d’East Point, le vent se renforce et la mer se creuse car nous ne sommes plus protégés par l’île et par conséquent, plus vraiment sous le vent.
La mise à l’eau par bateau est difficile pour quelques plongeurs, pour Jordy et moi c’est une formalité et nous partons rapidement à l’écart des autres.

Les récifs de East Point sont à couper le souffle: il y a beaucoup de magnifiques sites à Curaçao, mais ici tout est plus grand, et les coraux s’étendent à perte de vue. Pas de dégâts apparement, tout semble être en parfaite condition. Nous rencontrons lors des plongées une très grosse tortue, ainsi qu’une énorme murène nageant en pleine eau. Durant cette sortie, il y a deux centres qui sont venus équipés de harpons pour éliminer autant de “Lion Fish” qu’il croisent: leur population grandi de manière tellement démesurée qu’il n’y a pas d’autres solution envisagée pour l’instant afin de laisser de la place aux autres espèces des récifs caribéens.

East Point
East Point
East Point

Le retour à bord est un peu plus compliqué après la deuxième plongée, la mer se creuse de manière plus importante et le vent a forci.
Tout le monde est de retour sain et sauf et, cette fois ci, le ZooKeeper de Curious 2 Dive est plein, finalement ils remplissent complètement la glacière qu’ils avaient amené: des restaurants auront du “Lion Fish” au menu ce soir!

Lorsque je me prépare au retour depuis Caracas Baai, je tombe sur une famille française en quête de renseignements. En fait, ils naviguent à quatre (les parents avec un ado et un pré-ado) sur les mers et les océans sur un voilier. Ils font escale à Curaçao dans le Spanish Water qui comprend plusieurs ports de plaisance. Ils doivent aller à Willemstad pour enregistrer leur arrivée et déclarer leur mouillage à Caracasbaai.

Le jeudi soir est Happy Hour au Scuba Lodge. En fait, c’est le centre de plongée qui organise l’événement et non le bar ou le restaurant. A Curaçao, quasiment tous les centres de plongée sont établis dans des containers maritimes recyclés; ils sont plus ou moins aménagés, autant à l’extérieur qu’à l’intérieur. J’en ai vu à Daaiboi où il est quasiment brut, d’autres sont repeints ou habillés de bois. Celui du Scuba Lodge fait partie des plus travaillé, à un tel point que de prime abord l’on a pas du tout l’impressionqu’on a affaire à un container. Il a été découpé en deux comptoirs et est posé au fond d’une petite cour ombragée.
Durant les happy hours, les comptoirs destinés à l’administratif relatif aux plongées se transforment en bar. Et l’évenement est très populaire: il y a là des vacanciers (plongeurs ou pas), et beaucoup d’autres personnes travaillant dans des centres de plongées ou des plages y viennent aussi.
J’ai eu l’occasion de discuter avec des instructeurs avec qui j’avais plongé auparavant, il y a aussi une partie de l’équipage de Breeze qui est là après une sortie en mer.

Une journée bien remplie!